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Blog en Commun est un blog collaboratif sur les transports en commun en Ile-de-France, il vous permets de raconter vos histoires et anecdotes sur votre ligne de métro, de rer, de bus… Le blog est indépendant des régies de transport (ratp, sncf…).
Quatorze autobus des CIF ont été vandalisés dans le dépôt de Dammartin-en-Goële entre minuit et 3h30 vendredi 23 avril.
Les dégradations ont été constatées vendredi à 6h55 par un responsable de la compagnie. Les vitres des autobus ont été cassées, les plaques d'immatriculation ont été arrachées et des clés de contact ont été volées.
A proximité des autobus, les vestiaires en préfabriqué des agents de nettoyages de la société ont également été saccagés. D'après un syndicaliste cité dans le Parisien, les dégâts seraient encore plus importants. Ce serait 24 autobus qui auraient subi des dégâts.
Fin mars et mi-avril, plusieurs autobus des CIF avait été pris pour cible par des inconnus à Tremblay-en-France après une vaste opération anti drogue menée dans une cité sensible. L'un des véhicules avait été incendié. Pour l'instant aucun lien n'est fait entre ces deux affaires.
Panneaux solaires, ces deux mots
laissent souvent sceptique. Pourtant, leur installation se développe. Ils
constituent aujourd’hui une méthode de production d’énergie électrique propre qui
présente beaucoup plus d’avantages que d’inconvénients. Ecologiquement parlant,
capter les rayons de notre cher soleil ne représente aucun danger. Deux sortes
de panneaux existent : les panneaux thermiques et photovoltaïques. Comme leur
nom l’indique, les premiers produisent de la chaleur (généralement pour
chauffer de l’eau), les seconds de l’électricité destinée à alimenter soit la
maison, soit le réseau d’alimentation générale. Décrire clairement les deux
types de panneaux solaires, leur descriptif technique, mode d’installation et
leur production en un seul article est difficile. Je vais donc limiter le
présent article aux panneaux photovoltaïques. Une cellule photovoltaïque est un
composant électronique qui, exposé à la lumière (photons), génère de
l’électricité. Les plus répandues sont constituées de semi-conducteurs,
principalement à base de silicium et se présentent généralement sous la forme de
fines plaques d’une dizaine de centimètres de côté, prises en sandwich entre
deux contacts métalliques, pour une épaisseur d’environ un millimètre. A quoi
servent-ils ? Ils transforment les photons captés en courant continu, qui grâce
à l’installation d’un onduleur, est transformé en courant alternatif identique
à celui du réseau. Après quoi, l’énergie produite pourra être revendue à EDF.
Combien coûte une installation de panneaux photovoltaïques ? Tout dépend du type d’installation : surimposés à une construction existante ; ils ne font alors pas partie de l’enveloppe du bâti. Il s’agit de modules fixés sur une toiture inclinée ou posés sur des châssis. Ils ne profitent pas des dispositifs d’aide financiers à l’installation. Une installation intégrée dans la toiture possède un rendement supérieur grâce à un meilleur contrôle thermique de l’installation ; utilisés comme matériaux de construction, ils font partie intégrante du bâti et deviennent éléments de toiture ou de verrière, murs ou panneaux. Donner une indication de prix serait trop hasardeux en raison des grandes variations selon les entreprises et les difficultés dues au bâti, mais, généralement, on estime à 1100 € le m² de panneaux.
Pour une construction existante, la pose de panneaux solaires n’est pas soumise à l’obtention d’un permis de construire mais nécessite toutefois une déclaration de travaux. Attention, si votre habitation est située dans le périmètre de l’église, l’avis des Bâtiments de France sera peut-être nécessaire.
Comment se rentabilise une telle installation ? Il est tout d’abord possible de revendre l’énergie produite. Les tarifs d’achat des fournisseurs d’électricité pour 2010 sont, pour une installation non intégrée au bâti : 32 cts €/kWh et 58 cts €/kWh pour une intégrée. Plusieurs dispositifs d’aide à l’installation sont disponibles, pour les installations intégrées, auprès des banques (prêt vert à taux préférentiel, 1,5 %), des conseils régionaux (en IDF l’aide varie de 800 à 2000 € selon la puissance de l’installation) et des communes (mais pas à Moussy le Neuf). Vous pouvez également profiter d’un crédit d’impôt, jusqu’à 50 % pour le matériel. N’hésitez pas à consulter les services des impôts pour connaître toutes les aides et crédits d’impôts et l’ADEM pour plus d’informations sur les panneaux eux-mêmes.
Ce fut un projet de longue haleine mais comme le dit Daniel HAQUIN,
président de la communauté de communes de la plaine de France, maître d’ouvrage
pour le complexe nautique, « cette infrastructure avait été pensée il y a dix
ans et n’était plus adaptée. Maintenant, avec Espace Récréa et cet aménagement,
nous avons dix ans d’avance ». Ce sont sur ces mots que commença la
présentation à la presse du Projet « Plaine Oxygène » à laquelle nous étions conviés.
Espace Récréa, le délégataire de service choisi par la communauté de communes
au mois de décembre pour exploiter l’équipement pendant 8 ans n’est pas un
petit nouveau dans le sérail et, fort de cette expérience, il nous présenta un projet
à la fois ambitieux et réaliste.
L’infrastructure, de 11000 m², sera articulée autour de cinq « espaces ». Pour commencer, le cœur de l’équipement, l’espace aquatique, avec ses piscines intérieures et ses espaces de détente. C’est là que pourront se rendre pour apprendre à nager les 40 000 élèves des écoles alentour, dont celle de Moussy le Neuf. Un espace détente viendra compléter l’espace nautique avec ses saunas, jacuzzis et jets de massage. Un espace forme pour pratiquer le fitness sera agrémenté par des installations variées comme le cardiotraining, l’aquagym et l’aquabyking. Un espace restauration, « les toques rebelles », pour se restaurer après l’effort, offrira des plats diététiques et des menus variés pour les enfants.
Mais le bijou de ce projet, mis en avant par Récréa, c’est la plaine de jeux pour les enfants, dite « Plaine Ludiboo ». Sur 400 m², les enfants disposeront d’une piste de karting électrique de 50 m de long, d’un tunnel fluorescent de 70 m, de 5 salles d’anniversaire à thème (pirate, …), d’un espace de jeux de construction de 94m², d’un espace bébé de 70 m² et d’un espace de 170 m² de jeux gonflables géants. « L’une des plus belles et des plus grandes plaine de jeux pour enfants d’Europe » d’après les responsables d’Espace Récréa.
La grille tarifaire propose de multiples abonnements à la carte et d’ores et déjà, nous pouvons vous dire que tous les habitants du canton pourront profiter du tarif préférentiel. Pour accéder à la piscine, les habitants du canton payeront 4 €, les enfants de plus de 3 ans 3 € (gratuit pour les moins de 3 ans), les extérieurs respectivement 5 € et 4 €. L’entrée pour la plaine de jeu Ludiboo est de 9 €. Une séance de remise en forme coûtera environ 12 €. Les abonnements sont nombreux et variés : cela reviendra, par exemple, à 225 € pour un accès permanent et illimité à la piscine, pour les accros 690 € pour un accès permanent et illimité aux espaces aquatiques, forme et fitness.
L’exercice est délicat. Comment parler du départ à la retraite de
Madame GRATACOS, directrice de l’école élémentaire dans ce journal quand notre
président, et accessoirement directeur de la publication du QDN,
partage le même patronyme ? Pourtant, il n’est pas possible de passer sur un événement aussi
important et de faire l’impasse sur les 30 années que notre village a partagé
avec l’un de ses personnages les plus illustres et méritant. C’est donc moi,
impartial rédacteur du QDN, qui saisit ma plus belle plume pour signer au nom de toute l’équipe
de rédaction et au nom de beaucoup d’anonymes, un « au revoir » en forme d’hommage,
sans épitaphe, cela va de soit.
Madame la directrice, s’il est des gens qui partent sans que l’on s’en aperçoive et qui ne laisseront pas trace de leur passage, vous avez, au contraire de cela, laissé dans les mémoires et le cœur des Moussignols, un souvenir indélébile et impérissable.
Lorsque vous êtes devenue institutrice, le professeur, le directeur d’école avait encore une place particulière et un statut social important au sein d’une commune. Il était respecté et sa parole était d’or. Si ces valeurs se sont perdues et la fonction dépréciée, vous avez su, par la qualité de votre travail et votre dévouement, rendre ses lettres de noblesse au plus beau métier du monde, dans la tradition du service public et de l’école laïque et républicaine.
Moi qui ai été votre élève et qui ai l’honneur de vous côtoyer, je sais que notre école, et par école j’entends autant l’institution que l’établissement de notre commune, perd aujourd’hui un pilier. Il serait normal de vous dédier une rue, une plaque, de donner votre nom à l’école ou à une salle communale, mais n’en faisons rien. Votre monument est partout et nulle part à la fois. Votre monument est vivant. Ce sont ces mille enfants à qui vous avez appris à lire, à écrire et à compter. Ce sont toutes ses mémoires dans lesquelles votre souvenir ne s’éteindra pas. Chaque élève qui a traversé votre vie est pour vous une médaille, objet de fierté, qui va au-delà des palmes académiques que l’institution vous a remises au mois de décembre 2009.
Une page s’est tournée, mais l’histoire n’est pas finie. Nul doute qu’une autre commence et que vos projets vous rappelleront au service du savoir et des jeunes Moussignols. Alors merci, bonne retraite et au revoir, madame la directrice.
