Rédigé par Du neuf à Moussy le 10 juin 2011 à 12h40 dans Actualité, Conseil municipal, Moussyleneuf TV | Lien permanent | Commentaires (0)
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La commission de concertation de sécurité routière c'est réunis vendredi 10 juin en Préfecture. La réunion s'est déroulée en présence de parlementaires, de représentants des collectivités locales (Conseil Général, mairies, association des maires) de présidents d'associations d'usagers et de victimes de la route ainsi que des représentants des parquets et des forces de l'ordre.
Philippe GUERIN, secrétaire général de Du neuf à Moussy, etait présent comme président de la fédération departemental de la Fédération Française des Motards en Colére.
Cette séance de travail a permis de faire un point sur :
- l'accidentalité en Seine-et-Marne,
- les principales mesures annoncées lors du Comité Interministériel de la Sécurité Routière (CISR) du 11 mai 2011.
Elle s'est conclue par la mise en place de 4 groupes de travail (bilan des chartes ; diagnostic de l'accidentalité ; adaptation des infrastructures ; programmation de l'enlèvement des panneaux annonçant les radars fixes et rythme de mise en place des radars pédagogiques), qui rendront leurs conclusions avant fin octobre 2011.
Rédigé par Du neuf à Moussy le 10 juin 2011 à 08h53 dans Actualité | Lien permanent | Commentaires (0)
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Le lundi 6 juin, Pierre MONZANI, Préfet de Seine-et-Marne, a déposé une gerbe au monument aux morts de Melun à l'occasion de sa prise de fonction dans le département.
A l'issue de cette cérémonie, une réception a eu lieu en l'hôtel préfectoral en présence des élus, des représentants du monde économique, social et culturel du département.
Participaient également les forces de l'ordre de Seine-et-Marne, les chefs de services de l'Etat et de nombreuses associations du monde des anciens combattants.
Pierre MONZANI, proche de Briche HORTEFEUX et des courants villieristes, nommé le 24 mai 2011 préfet de Seine-et-Marne en Conseil des Ministres et sur proposition du ministre de l'intérieur Claude GUEANT, c'est fait connaitre en 2010 pour avoir embastiller préventivement un syndicaliste pendant 5 heures, Frédéric LE MARREC, lors d'une visite de Nicolas SARKOZY dans l'Allier dont il etait le préfet depuis janvier 2009 (voir article du Monde) aprés avoir etait conseiller de Charles PASQUA (1994), secrétaire général adjoint du groupe Union pour l'Europe des nations au Parlement européen (1999), directeur de l’Institut national des hautes études de sécuritéle (2006).
Rédigé par Du neuf à Moussy le 08 juin 2011 à 08h48 dans Actualité | Lien permanent | Commentaires (0)
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Rédigé par Du neuf à Moussy le 31 mai 2011 à 22h53 dans Actualité, Conseil municipal, Moussyleneuf TV | Lien permanent | Commentaires (0)
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Comment consommer de bons produits, soutenir une agriculture respectueuse de l’environnement et avoir une relation directe avec le producteur ? En créant une AMAP ! Association de Maintien de l’Agriculture Paysanne.
Les AMAP visent à soutenir l’agriculture paysanne de proximité, l’accès à une alimentation de qualité et à un mode de consommation reposant sur la responsabilité et la citoyenneté. Une AMAP est composée de « consomm’acteurs » qui deviennent partenaires d’un maraîcher local. Le principe fondateur repose sur un engagement mutuel et un échange équitable entre l’AMAP et le paysan. Un groupe de consommateurs achète à l’avance à un prix fixe, une part de la récolte d’un agriculteur sur une période déterminée. Il s’engage à le soutenir durant toute cette période et partage avec l’agriculteur les risques et les bénéfices liés à son activité. En échange, l’agriculteur s’engage à mettre en œuvre les moyens nécessaires pour proposer une grande diversité de produits, à privilégier les variétés du terroir et à suivre les méthodes de l’agriculture biologique.
Les produits distribués dans le cadre de ces initiatives sont directement liés à l’agriculture : fruits et légumes, viande, fromage. Les modes de production utilisés doivent respecter les principes de la Charte des AMAP. Les fruits et légumes livrés ont été cueillis le matin et sont livrés le soir. Cette fraîcheur est une qualité que l'on ne peut trouver qu'en cultivant soi-même son potager, chose difficile à faire. Chaque consommateur peut alors remplir son « panier ». Les liens qui se créent avec l’agriculteur (visites, discussions sur les modes de production, participation aux travaux, organisation de fêtes...) établissent une relation de confiance et de solidarité.
En participant à ces initiatives, les consommateurs font acte de citoyenneté. Ils s’informent et se forment aux principes de l’agriculture paysanne et aux questions se rapportant à la santé, l’alimentation et l’environnement. Les AMAP assurent aux agriculteurs une autonomie économique en lui garantissant un revenu décent couvrant le coût de son travail indépendamment des cours mondiaux du marché. N'ayant plus le souci de vendre, l'agriculteur peut se consacrer à la qualité de sa production.
Le conseil de DNM s’est penché sur la possibilité de créer une AMAP à Moussy depuis plusieurs mois et, après avoir pris contact avec un maraîcher proche de Meaux, va bientôt créer l’association afin d’établir le fonctionnement de l’AMAP et le contrat avec le maraîcher.
Si vous êtes intéressé contactez-nous au 06 23 53 50 47 pour participer à cette belle aventure.
Rédigé par Du neuf à Moussy le 19 mai 2011 à 20h53 dans Actualité, Associations, Economie, Environnement | Lien permanent | Commentaires (1)
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Rédigé par Du neuf à Moussy le 14 mai 2011 à 11h12 dans Actualité, Le QDN, Politique | Lien permanent | Commentaires (0)
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Beaucoup d’informations nous ont été transmises à propos du centre de loisirs depuis sa mise en service. Par le personnel de mairie comme par les parents d’élèves. L’exigüité du lieu qui permet à peine de réunir les élèves à l’intérieur en cas de pluie ou en hiver et à condition qu’ils soient assis jusque dans les couloirs, la cour trop petite et mal aménagée, la salle de restauration qui suffit à peine à accueillir les 300 élèves qui y mangent en deux services tous les jours et à toute vitesse, la qualité déplorable des repas, les enfants allergiques mis de côté, sans parler de l’animateur du Centre d’Animation Jeunesse qui avait ramené en 2009 une chicha et l’avait utilisée avec des adolescents mais qui a heureusement été débarqué depuis du CAJ. L’information qui nous est arrivée de source sûre il y a quelques semaines et que nous nous sommes employés à vérifier depuis, est beaucoup plus inquiétante.
En effet, depuis sa construction, le bâtiment du centre de loisirs, qui accueille tout à la fois le centre, le restaurant scolaire, le CAJ et l’école de musique municipale, souffre de la nature meuble du terrain sur lequel il se trouve et s’enfonce. Ce déplacement, qui serait assez important selon nos informations, mettrait en danger la structure même du bâtiment et il est apparu dans les sous-sols du bâtiment qui se trouvent sous la cantine de larges fissures où l’on peut à peu près rentrer une main.
Nous ne pouvons rien affirmer quant à l’importance du danger, sinon qu’il existe. Mais encore une fois la mairie pêche par le manque de transparence. Des sondages ont été réalisés dernièrement afin de savoir quels seraient les dégâts à redouter, leur évolution et les solutions qui pourraient être envisagées.
Il est évident que, si un risque majeur ou imminent existait, des mesures d’urgence auraient été prises par la mairie.
Mais depuis des mois que cette situation est connue et que les services de la mairie s’y penchent, jamais la municipalité n’a communiqué au conseil municipal, au conseil d’école ou dans l’Entre Deux sur le sujet. Il est temps pourtant d’informer la population sur les risques qu’encourent nos enfants et les solutions qui sont envisagées pour régler ce problème.
Nous demandons et nous attendons que la mairie lève le voile sans tarder sur cette situation et fasse preuve, pour une fois, de transparence.
Rédigé par Du neuf à Moussy le 14 mai 2011 à 11h01 dans Actualité, Education et jeunesse, Sécurité | Lien permanent | Commentaires (0)
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Depuis quelques mois, la mobilisation et l'inquiétude contre le gaz de schiste et le pétrole de schiste ne cessent de monter. Plusieurs manifestations ont déjà eu lieu à Meaux et à Doue. Mais au fait, de quoi on parle? Du neuf à Moussy fait le point.
Le gaz de schiste, qu'est-ce-que c'est ?
Le gaz de schiste est un gaz naturel, semblable au gaz conventionnel, utilisé pour se chauffer et se déplacer. Il a comme particularité d'être enfermé dans des roches très compactes et très profondes : les schistes. Notre département en compte beaucoup.
La différence entre le pétrole et l'huile de schiste?
C'est la même chose.
Ce business est-il le nouvel eldorado énergétique?
Longtemps considérée trop chère, l'exploitation de gaz et de pétrole de schiste commence à devenir intéressante. D'une part, parce que les cours du gaz et du pétrole flambent ; d'autre part, parce que ces ressources s'épuisent.
Comment se fait l'extraction?
Pour le gaz et le pétrole conventionnel, il suffit de forer pour que la matière première remonte. Pour le pétrole et le gaz de schiste, c'est beaucoup plus compliqué. Ils sont enfermés dans des roches imperméables et disséminées dans de nombreuses poches, un peu comme une éponge. On a donc recours à la fracturation hydraulique. Et c'est là que le bât blesse, car le simple fait de faire un trou ne suffit pas : il faut injecter de l'eau, du sable et des produits chimiques à forte pression pour faire éclater les roches, récupérer la matière et la faire remonter à la surface. L'extraction du gaz de schiste confine à la catastrophe environnementale.
Alors, y-a-t-il un risque environnemental ?
Les techniques d'extraction recourent à des solvants chimiques qui ne sont pas tous récupérés à la surface. Il y a donc des possibilités d'épanchement et de contamination du sous-sol, voire des nappes phréatiques qui servent à alimenter les réseaux d'eau potable. Les forages ne permettent pas de récupérer de grosses quantités de matière. Il faut donc forer beaucoup et souvent. Ce qui défigure le paysage et détruit les milieux naturels. Un bilan carbone discutable : l'extraction nécessite le transport de sable et de produits chimiques, des activités polluantes. Elle est aussi très gourmande en eau. Les nombreuses fissures peuvent déstabiliser le sous-sol et provoquer des séismes. D'après le New York Times, les eaux rejetés des puits américains sont dangereusement radioactives.
Des flammes dans nos cuisines ?
Une séquence du documentaire Gasland est hallucinante. On y voit un Américain approcher son briquet de l'eau du robinet ce qui déclenche une énorme flamme. Une scène qui s'est multipliée dans de nombreux foyers américains situés près des puits de forage.
Et en France ?
Des gisements potentiels de gaz de schiste se trouvent dans le sud de la France : les Causses, les Cévennes, le Quercy, le Rhône-Alpes et la Provence. Le pétrole de schiste a été repéré dans les départements de l’Aisne et la Seine-et-Marne. Total, GDF-Suez, Schuepbach Energy (société américaine), Toreador France (dont le vice-président est Julien Balkany, le demi-frère de Patrick Balkany) et le canadien Vermillion sont dans les starting blocks et n'attendent plus que le feu vert des autorités.
Que dit le gouvernement?
Face à la montée des protestations, le gouvernement a freiné des quatre fers début février et diligenté une mission d'information. "On a clairement dit aux industriels qu'on n'accepterait pas une exploration ou une exploitation à l'américaine", déclarait le 10 février la ministre de l'Ecologie, Nathalie Kosciusko-Morizet. Le gouvernement a donc annoncé « la suspension de toutes les opérations de forages et de fracturation hydraulique jusqu’au 31 mai concernant les gaz de schiste dans le Sud de la France. Mais, pour l’heure, concernant les projets d’exploration des pétroles de schiste dans le bassin parisien, seules les opérations de fracturation sont suspendues jusqu’au 31 mai », prévient Greenpeace.
Les mobilisations
Une pétition contre l'extraction du gaz de schiste a été signée par plus de 65.000 personnes. Une autre a été lancée par Greenpeace concernant spécifiquement l'exploitation de pétrole de schiste. Des manifestations ont déjà eu lieu et une grosse mobilisation est attendue à Paris près l'assemblée nationale le 10 mai à partir de 11h place Henri Heriot.
Le site internet du collectif Seine-et-Marnais
Le reportage vidéo de Josh Fox sur les conséquences de l'exploitation de gaz de schiste aux États-Unis :
GASLAND par latelelibre
Rédigé par Du neuf à Moussy le 10 mai 2011 à 04h26 dans Actualité, Environnement | Lien permanent | Commentaires (0)
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Après 28 ans au pouvoir, il était temps. Le 27 mai 2011, à 20h30, salle Jeanne d’Arc, si d’ici là les élus ne se dégonflent pas, les Moussignols pourront participer à la première réunion publique d’information à mi-mandat de la municipalité ! Mieux, ils pourront poser des questions et faire part, comme le dit le maire dans l’Entre Deux n°630, « de leurs remarques et de leurs suggestions afin de guider la municipalité dans la conduite de la vie de notre beau village » …
Non, madame, monsieur, vous ne rêvez pas ! Après 28 ans de silence religieux et d’autisme acharné, la municipalité va enfin parler. Vous allez enfin pouvoir venir à la rencontre de vos élus. Il faut croire que ces gens-là sont des pudiques. Des taiseux en tous cas.
Mais ne nous emballons pas. Déjà, dans l’Entre Deux, le maire fait état d’un programme. De quel programme parle-t-il ? Nous n’avons jamais entendu parler d’un programme de la majorité lors des élections municipales, sinon qu’il consistait à dire que tout allait bien et qu’il fallait continuer ainsi. Devons-nous nous attendre à cette même mélasse propagandiste ? Ne préjugeons pas mais, du côté de l’opposition, on ne se fait aucune illusion. Si cette réunion est du même tonneau que les conseils municipaux, alors il n’y aura rien à en tirer.
Inutile de dire que nous seronts présents, avec la caméra et des questions plein les poches.
Rédigé par Du neuf à Moussy le 06 mai 2011 à 14h38 dans Actualité, Démocratie, Politique | Lien permanent | Commentaires (1)
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A Moussy il n’y a pas de quotient familial pour la cantine. Tous les élèves ne sont néanmoins pas logés à la même enseigne...
Alors que la qualité, le goût des aliments servis, les moyens de cuisson sont discutables et que de nombreux parents d’élèves s’insurgent, comment peut on expliquer que les enfants allergiques, relégués dans une arrière-salle, paient le même tarif que tout le monde puisqu’ils amènent leur repas ?
Pourquoi les enfants sujets à des régimes alimentaires parfois incompatibles avec le menu du restaurant scolaire ne se voient-ils pas offrir une alternative ?
Sans compter que, chaque année, le tarif augmente plus que l’inflation ...
Nos enfants sont décidément mal considérés par la municipalité. Peut-être est-ce parce qu’ils ne disposent pas d’une carte d’électeur ?
Rédigé par Du neuf à Moussy le 06 mai 2011 à 14h30 dans Actualité, Budget, Education et jeunesse | Lien permanent | Commentaires (2)
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En France, 1% des toitures sont des toitures végétalisées. Le concept ne date pas d’hier mais ses atouts écologiques la poussent de nouveau au-devant de la scène et les architectes la proposent de plus en plus souvent. Le principe de la toiture végétalisée consiste à recouvrir d’un substrat végétalisé un toit plat ou à faible pente (jusqu’à 35°). C’est une caractéristique architecturale réquente d’un bâtiment durable, ou de type HQE (approche architecturale incluant les principes et critères du développement durable). Les toits végétalisés, principalement pour des raisons climatiques, représentent une part importante de l’architecture traditionnelle. Il existe en France des toitures de tuiles rondes ou de chaume qui sont colonisées par une végétation adaptée et qui participent à l’isolation de l’habitat tout en retenant une part non négligeable d’eau de pluie.
Végétaliser une toiture peut se faire aisément sur des toits plats ou des terrasses. Pour des constructions existantes, les toits plats ne se trouvent généralement que sur les dépendances comme les garages. Dans ce cas, pourquoi laisser la dalle exposée au soleil ou au froid et à la pluie ? Ce toit peut être végétalisé à peu de frais pour réduire les ruissellements et contribuer à la protection de l’environnement. Il existe trois types de végétalisation. La végétalisation extensive, légère et qui demande très peu d’entretien. Elle utilise très peu de substrat et une plantation serrée et basse. La végétalisation semi-intensive qui utilise assez peu de substrat (de 10 à 30cm d’épaisseur). L’entretien doit être régulier. La végétalisation intensive est un jardin traditionnel qui utilise beaucoup de substrat (plus de 30cm d’épaisseur). La pente du toit ne doit pas dépasser 3°. On peut laisser le toit se végétaliser seul ou y planter certaines espèces. L’entretien doit être régulier. Elle est destinée à des constructions neuves en raison de la quantité importante de substrat nécessaire. Quels avantages pour la construction d’une toiture végétalisée ? Elle représente une excellente solution d’isolation thermique et permet de réduire de près de 40% les variations de température.
La terre est également un excellent isolant phonique. Lorsque vous construisez une maison, un immeuble, un b â t i m e n t , … vous utilisez une surface au sol. L’avantage de la toiture végétalisée est de restituer la surface empruntée en hauteur et en une surface écologique. L’étanchéité est assurée par le fait que les matériaux imperméabilisants résistent plus longtemps à l’abri des ultraviolets (UV) et du rayonnement thermique solaire. La toiture végétalisée produit de l’O² réduisant ainsi les gaz à effet de serre. Les substrats utilisés permettent de filtrer les eaux de pluie, ce qui favorise la régulation des débits hydriques. En été, la toiture végétalisée permet d’humidifier l’air desséché, d’atténuer le bruit et offre un lieu d’accueil et de nourriture aux oiseaux.
Le saviez-vous : avec 6% de toitures végétalisées sur la totalité des toitures, la température chuterait d’1,5 degré dans les villes ! Le prix d’une toiture végétalisée oscille entre 80 et 300€/m² suivant le type de pose et la surface à traiter. Plus la toiture sera de petite surface et le toit pentu, plus le prix au m² sera élevé.
Plus de renseignements sur : http://www.toiture-vegetalise.com
Rédigé par Du neuf à Moussy le 28 avril 2011 à 08h36 dans Actualité, Environnement, La tête dans ma planète, Science, Urbanisme | Lien permanent | Commentaires (0)
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Nos lecteurs l’ont remarqué et nous l’ont fait savoir, notre dernière publication commençait à dater ! Ce n’est pas que nous manquions d’inspiration ou de matière. Au contraire, nos huit pages nous contraignent souvent à faire court. En vérité le QDN connait des difficultés d’impression. Par deux fois, en septembre et en janvier, ce dixième numéro fut bouclé mais n’a pas pu être imprimé. Nos accords avec l’imprimeur, qui nous accordait jusque-là un forfait pour quatre numéros par an ont malheureusement pris fin. Mais que personne ne s’inquiète, ou ne se réjouisse, ce numéro ne sera pas le dernier. Nous avons réussi à négocier encore deux publications en plus de celle-là. Nous serons a priori dans l’obligation de les espacer. Afin de pouvoir assurer durablement l’impression du QDN, toute l’équipe s’est mobilisée pour trouver une solution. Nous avons retenu la moins coûteuse : acheter une machine semi-professionnelle qui nous permettra d’imprimer plus souvent et peut-être en couleur ! Mais cette machine a un coût de 5000 € et si, à l’heure actuelle, nous avons réussi à réunir 3500 € grâce à nos réserves et à la générosité de nos donateurs, nous tirons la langue pour trouver les 1500 € restants. Il faut dire que, contrairement à la mairie, nous ne disposons pas des deniers publics. C’est donc à vous, lecteurs, que nous nous adressons. Pour nous aider à sauver le QDN, n’hésitez pas à envoyer même quelques euros pour soutenir le QDN.
Rédigé par Du neuf à Moussy le 05 avril 2011 à 08h31 dans Actualité, DNM, Démocratie, Le QDN, Politique | Lien permanent | Commentaires (0)
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Comme nous l’avions annoncé, le Club de randonnée « Pas à pas » vient d’être créé et agréé par la Fédération Française de Randonnée Pédestre.
La première sortie aura lieu le dimanche 6 mars. Rendez-vous à 9h00 sur le parking de l’école pour une marche de 2h afin de faire connaissance. (équipement à prévoir : chaussures de marche, 1 bouteille d’eau et un manteau de pluie)
Les inscriptions auront lieu le samedi 26 février 2011, de 9h à 12h30, chez M.Brazier, 53 rue des Marguerites.
Vous pouvez également vous inscrire par téléphone (M.Brazier 0678283201 - M.Sattler 0613096450), par courriel ([email protected]) ou le jour de la première randonnée.
Le coût de la cotisation annuelle, licence et assurance comprise, est de 35 € pour un adulte et de 30 € pour un jeune de moins de 18 ans.
Il vous sera demandé, pour obtenir votre licence, un certificat médical pour la pratique du sport de randonnée et une photo d’identité.
Venez nombreux et bonne marche !
Rédigé par Du neuf à Moussy le 24 février 2011 à 13h15 dans Actualité, Sports | Lien permanent | Commentaires (0)
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La réforme des collectivités territoriales engagée par le gouvernement et adoptée en 2010 aura au moins cette vertu de rendre obligatoire l’appartenance de toutes les communes à une intercommunalité, de simplifier les intercommunalités en supprimant les Etablissements Publics de Coopération Intercommunale à compétence unique et de rationaliser le territoire des interco. Plus que n’importe où, dans notre secteur, ces mesures étaient nécessaires. Il va désormais falloir mettre fin aux petits arrangements qui ont permis aux uns et aux autres de présider trois intercommunalités différentes (Plaine de France, Monts de la Goële, Pays de la Goële et du Multien) qui n’avaient pas de continuité territoriale et va entrainer la disparition d’une multitude de petits syndicats qui n’avaient d’autre but que de fournir une indemnité à leurs présidents.
Dont acte : les grandes manœuvres ont commencé et la fusion se fera de gré ou de force. Les communes ont jusqu’à fin 2012 pour se mettre d’accord, après quoi, faute d’accord, le Préfet prendra les ciseaux ! Mais aujourd’hui deux forces sont en présence. D’un côté, un nombre important d’élus du canton qui ont engagé une réflexion de fond sur l’intérêt de réaliser une grande communauté d’agglomérations autour de l’arc Est de Roissy qui irait au-delà du canton vers Mitry, Villeparisis et Compans pour répondre au besoin de transports et de services spécifiques d’un secteur qui partage les mêmes difficultés et de l’autre une droite locale qui a peur de se retrouver dans une grande interco riche qu’elle ne contrôlerait pas. Car depuis, les communes de Mitry et Compans, dirigées par des élus de gauche, ont manifesté leur souhait de rejoindre la Plaine de France et donc, à terme, de faire partie de cette future grande interco. Ce serait pour le moins la fin du monopole des petites communes de droite qui contrôlent par exemple la CC du Pays de la Goële et du Multien en étant très minoritaires grâce à des primes de représentation accordées aux petites communes.
Mais soyons justes, tous les élus de droite ne paniquent pas. Aujourd’hui beaucoup d’élus de droite se désolidarisent clairement de Bernard RIGAULT, fer de lance de cette résistance de la vieille garde, et travaillent de concert avec les autres élus. Si une chose est claire aujourd’hui, pour les élus de gauche et pour la plupart des élus de droite, c’est qu’il n’est plus question de composer avec Bernard RIGAULT, président par défaut de la Goële et du Multien, pour fusionner et présider la future interco.
Nous suivrons de près les débats et ce dossier qui aura à l’avenir des conséquences importantes sur la gestion de nos collectivités.
Rédigé par Du neuf à Moussy le 15 février 2011 à 08h45 dans Actualité, Autour de chez nous , Démocratie, Intercommunalité , Politique | Lien permanent | Commentaires (0)
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Quel ennui ! Voilà ce qu’on se dit après 2h de conseil municipal à Moussy le Neuf. D’ailleurs quelques élus ne s’y trompent pas qui viennent y faire la sieste. Ce lieu qui devrait être celui du débat et de la discussion n’est plus qu’une chambre d’enregistrement où les élus présents, presque la moitié en est à chaque fois absente, viennent écouter dans un silence religieux la logorrhée verbale interminable du maire, quand cela ne fait pas déjà deux ou trois mois que nous avons droit au même discours sur les même sujets. Petit florilège non exhaustif. Comme nous l’avons annoncé précédemment, les difficultés financières s’amoncellent mais pas question de l’admettre. De conseil en conseil les projets sont reportés sine die. De l’installation d’une halle couverte annoncée il y a presque deux ans et dont nous n’avons plus aucune nouvelle à l’élargissement de la vidéo surveillance qui a fait l’objet de rappels lors des quatre derniers conseils municipaux en passant par la maison de retraite pour laquelle une ligne budgétaire est inscrite chaque année pour réaliser les études mais qui ne voit jamais le jour, les projets s’engouffrent, immanquablement les uns derrière les autres, dans la profondeur des discours soporifiques du maire. La palme revient au futur bâtiment des services techniques dont les marchés ont été sous-évalués par la commission municipale des travaux et qui ont finalement été déclarés infructueux. Le manque de liquidité contraindra la mairie à revoir ses prétentions à la baisse et à réaliser un triste bâtiment industriel en lieu et place des installations pharaoniques promises. Autre arlésienne, le contrat triennal de voirie, qui est à l’étude depuis deux ans, tout de même, qui revient quasiment à chaque conseil et qui ne verra pourtant pas le jour tant que la mairie refusera de se mettre en conformité avec les normes de sécurité routière, notamment le mobilier urbain. Voilà pour un conseil municipal déserté par les conseillers, le public et les projets.
Rédigé par Du neuf à Moussy le 05 janvier 2011 à 08h22 dans Actualité, Conseil municipal, Démocratie, Politique | Lien permanent | Commentaires (0)
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