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06 décembre 2013
22 novembre 2013
15 novembre 2013
Du neuf à Moussy lance sa consultation citoyenne
Il y a 6 ans déjà, notre équipe venait à votre rencontre pour entendre et comprendre vos aspirations pour notre village. Forts de cette première consultation à laquelle de nombreux citoyens avaient participé, nous avons finalisé un programme qui a convaincu près de 40% des électeurs mousignols en mars 2008. Depuis, nous n’avons cessé d’être à vos côtés, de vous informer et de défendre l’intérêt général.
Après 6 années instructives dans l’opposition non élue, nous voilà à la veille des élections municipales. Cette échéance revêt un caractère particulier pour chacun d’entre nous. Le maire et son conseil sont les élus les plus proches des citoyens et la mairie le service public le plus à même de tenir compte des réalités quotidiennes. C’est pourquoi, au delà de tout clivage politique, nous sommes attachés à cette élection. C’est pourquoi nous nous sommes appliqués à regrouper des compétences, quelle que soit l’obédience politique des uns et des autres.
Afin d’enrichir le travail d’élaboration du projet municipal que nous défendrons en mars 2014, nous vous proposons une nouvelle fois de participer à la grande consultation citoyenne que nous lançons dès aujourd'hui. Dans les semaines à venir, vous trouverez successivement dans votre boîte à lettres les 3 questionnaires qui aborderont les sujets essentiels de la vie des habitants.
Cette consultation doit permettre à chacun quel que soit son âge, sa situation familiale et professionnelle, sa sensibilité politique ou ses convictions, de se retrouver autour d’un projet d’avenir qui répond à ses aspirations et qui donne un nouveau souffle à Moussy.
30 octobre 2013
Ralentisseurs : d'autres solutions existent !
Les ralentisseurs trapézoïdaux
sont gérés par le décret N°94-447 datant du 27 mai 1994 et leur signalisation
horizontale et verticale par l’arrêté du 24 novembre 1967 modifié relatif à la
signalisation des routes et autoroutes. Les communes avaient cinq ans pour les
mettre en conformité à partir de 1994. Tout ceci afin de limiter leur
dangerosité en cas de chute d’un usager vulnérable (piéton, vélo, deux-roues
motorisé) et également afin de limiter les dégradations mécaniques des
véhicules ainsi que la gêne sonore des riverains.
Les ralentisseurs installés à Moussy le Neuf ne respectent pas la réglementation sur de nombreux points et leur installation ancienne ne justifie en aucun cas que rien ne soit fait.
POURQUOI SONT-ILS DANGEREUX ET ILLEGAUX ?
Leur hauteur ne doit pas dépasser dix centimètres de haut. La saillie d’attaque (montée) où le rampant (descente) doit être comprise entre 1 mètre et 1,40 mètre. Leur implantation doit se faire sur une route limitée à 30 km/h.
Le décret interdit toute pose de ralentisseurs :
- sur les voies de desserte de transport public de personnes,
- sur une pente supérieure à 4 %,
- sur une route où le trafic dépasse les 3000 véhicules/jour en moyenne journalière annuelle,
- dans un virage inférieur à 200 mètres de rayon,
- ils ne doivent pas être associés à d’autres dispositifs concourant à la réduction de la vitesse,
- à proximité des trottoirs ou accotements, les ralentisseurs doivent être conçus de telle sorte qu'ils ne présentent aucun danger tant pour les piétons que pour les véhicules à deux roues,
- ils doivent obligatoirement comporter des passages piétons.
Les ralentisseurs de Moussy le Neuf cumulent les interdictions et sont en réalité un danger accru pour les usagers et non un élément de sécurité. Lors de sa dernière intervention, M. le Maire indiquait que c’est à l’époque le conseil d’école et les parents d’élèves qui avaient réclamé ces équipements ! Il est surprenant que ces mêmes personnes et la municipalité aient pu oublier d’en demander la pose devant l’école...
LES SOLUTIONS ALTERNATIVES
A force de vouloir tout contrôler, on finit par déresponsabiliser les conducteurs. Des pistes intéressantes sont les mini-giratoires qui ralentissent sans pénaliser la conduite. Les panneaux d’alerte également : « Attention, enfants, école ». Aux entrées de la commune, des zones de ralentissements progressives passant de 90 km/h à 70 km/h puis 50 km/h avec revêtement changeant de couleur et aménagement donnant un sentiment de rétrécissement de la chaussée. Les passages piétons doivent être bien identifiés sur la chaussée et la signalisation horizontale et verticale doit être adaptée et lisible.
La communication envers les Moussignols doit être permanente. Campagne de rappel sur la sécurité routière dans la commune. Des contrôles de vitesse réalisés par les forces de l’ordre sont également un moyen de dissuasion. Bref, c’est par le changement de comportement, la formation et la responsabilisation des conducteurs que la solution passe. La pose d’équipements, hautement coûteux et inefficaces est révolue.
CE QUE NOUS FERONS
En urgence, nous engagerons la suppression des équipements totalement illégaux et risquant d’engager la responsabilité juridique de la commune. Nous aménagerons l’intersection de la rue Cambacérès avec la rue Jeanne d’Arc (suppression de la plateforme en pavé fortement dégradé et entraînant une gêne importante des riverains). Nous supprimerons les éléments gênant la visibilité : haies mal positionnées et mobilier urbain inutile et dangereux. Nous engagerons une révision du plan de circulation, par exemple pour supprimer le danger créé par la construction de la halle à l’angle de la place Charles de Gaulle et de la rue Cléret (danger de croisement des véhicules). Modification des places de stationnements en chicane masquant la visibilité dans les virages. En partenariat avec le Conseil Général, nous aménagerons les entrées de la commune sur les voiries départementales (RD 26E vers Othis, RD 26A vers Choisy aux Bœufs, RD 26 vers Vémars et RD 26 vers Moussy le Vieux. La voirie n’échappe pas à notre réflexion, et la priorité sera donnée aux chaussées les plus dégradées.
Cette liste n’est bien sûr pas exhaustive, c’est l’ensemble de la commune qui devra faire l’objet d’une révision globale, tant le retard accumulé au fil des années, par l’équipe sortante, est important.
25 octobre 2013
Ambiance morose le 21 octobre au conseil communautaire
Au conseil communautaire du 21 Octobre, l’ambiance était tendue et morose. Les délégués de la nouvelle intercommunalité dénommée « Plaines et Monts de France » étaient réunis pour se prononcer sur l’arrêté de rattachement des communes de Mitry-Mory, Compans et Villeparisis signé le 31 juillet par la Préfète Nicole Klein (article ici).
Malgré le signal important que revêt ce vote pour l’avenir de notre territoire le débat n’a pas été à la hauteur des enjeux. Les petites communes, majoritaires au sein du conseil communautaire, se sont crispées pour défendre leur hégémonie politique sur l’interco qui serait d’après eux « remis en cause » par l’arrivée de communes plus peuplées telles que Villeparisis (24 000 habitants) ou Mitry-Mory (19 000 habitants). Ces rattachements feraient effectivement passer le nombre d’habitants de 66 000 à 100 000 mais les communes rurales ont tord de s’inquiéter. Ces deux villes, si c’est la représentativité définis par le droit commun qui s’applique, ne représenteraient qu'un tiers des élus du conseil. Ce rattachement, qui est légitime au regard du bassin de vie, au contraire, profitera aux petites communes, permettant de doter l'interco de moyens beaucoup plus importants en terme financier, de services publics et d’équipements.
Aujourd’hui, les statuts de Plaines et Monts de France accordent une place très importante aux petites communes. Ainsi, à Moussy le Neuf, les statuts de l’ancien préfet Monzani qui nous accorde 2 représentants ont été préférés au droit commun qui attribuait 3 délégués à notre commune de 2900 habitants. Les statuts Monzani ont pourtant été défendus et adoptés au conseil municipal par la majorité sortante alors qu’ils nous sont défavorables.
Mais le point de vue des petites communes, en fait essentiellement défendu par Bernard Rigault et Yves Allbarello, est loin de faire l’unanimité au sein même des sois disant réfractaires au rattachement. Plusieurs élus comme Alain Aubry maire du Mesnil-Amelot et Jean-Louis Durand maire de Marchemoret, s’étaient prononcé pour le rattachement (article ici) avant de subir la pression conjuguée d’Yves Albarello et de Jean-François Copé pour mettre un terme à un accord qui venait doucement mais surement. La confiance est telle que lors du vote sur le projet de rattachement, Bernard Rigault, président en sursis de l’interco (article ici), a refusé le vote à bulletin secret malgré les protestations de nombreux représentants communautaires.
La Préfète réunira donc le 22 novembre la Commission Départementale de Coopération Intercommunale (CDCI) pour proposer de nouveau le rattachement des trois communes à Plaine et Monts de France. Dans le cas ou la CDCI s’opposerait au rattachement, c’est l’arrêté qui fera loi et Mitry-Mory, Compans et Villeparisis siégeront au conseil communautaire le 1er janvier 2014.
20 octobre 2013
15 octobre 2013
12 octobre 2013
12 septembre 2013
05 août 2013
La préfète Nicole Klein a pris un arrêté en faveur de la Grande Intercommunalité
Dans un arrêté daté du 31 juillet, la préfète de Seine-et-Marne, Nicole Klein, propose le rattachement des communes de Compans, Mitry-Mory et Villeparisis à l’intercommunalité créée au moins de juin et nommée depuis « Plaines et Monts de France ».
Cette décision était très attendue. Ces trois communes, dites « communes isolées » parce que n’appartenant à aucune intercommunalité, devaient être fixées sur leur devenir depuis la tenue de la Commission Départementale de Coopération Intercommunale du 17 mai.
Cet arrêté marque une étape importante, un an après l'arrêté du Préfet Monzani. Le conseil communautaire a désormais 3 mois pour se prononcer, même si le résultat ne fait que peu de doute. La majorité des délégués communautaires risque de le rejeter. Dans ce cas, la Préfète pourra faire un "passer outre". Même si il serait dommage d’en arriver la, il faudra bien que les élus communautaires arrivent à s'entendre pour travailler ensemble et rattraper le retard que notre territoire a pris.
16 juillet 2013
12 juillet 2013
Vidéo surveillance : il ne faut pas se leurrer !
Michel MORET, adjoint au maire, avait demandé publiquement que le maire porte plainte pour incitation à la délinquance contre l’équipe de DNM lorsque nous avions abordé le sujet des cameras de vidéo surveillance en 2008. Cela n’a pas été le cas. On comprend pourquoi aujourd’hui.
Dès 2008 nous avons émis des doutes quand à la fiabilité du matériel et du système de vidéo surveillance installé par la majorité sortante. Plusieurs sources nous avaient alors informés que plusieurs caméras étaient des leurres, particulièrement celles installées en centre bourg et dans les rues résidentielles, les « vrais » caméras étant principalement destinées à la Zone d’Activité de la Barogne pour assurer la protection des entreprises. Evidemment le maire avait nié cette information avec la plus grande vigueur. Mais le doute s’était installé jusqu’au sein du conseil municipal. Il avait alors fallu au maire, d’après d’autres sources issues des rangs de la municipalité, faire visiter à ses élus l’installation qui se trouve dans la mairie dans une pièce dont l’accès est restreint et leur prouver ainsi que l’argent de la commune n’avait pas été dépensé en vain.
Nous ne disposions jusque là d’aucun document officiel pour étayer nos informations, la mairie nous interdisant toujours, de façon illégale et abusive, l’accès aux documents publics de la commune. Mais la municipalité a fini par se trahir toute seule.
Dans un document daté du 16/11/2012 (A lire ici) la mairie lance une procédure de marché public pour l’élargissement de son système de vidéo surveillance. Outre l’installation de projecteurs infra rouge sur des caméras déjà existantes (ce qui confirme également l’information selon laquelle les caméras sont aveugles la nuit), de remplacement d’écrous, et de divers petits travaux, on peut également lire sur la première page une demande pour l’installation d’un « leurre » chemin de la Grande Tuilerie.
Voilà qui confirme, définitivement en toutes lettres et avec papier à en tête de la mairie, nos informations et qui soulève de nouvelles questions, en plus de celle sur son efficacité, sur le coût de cette installation pour la commune.
06 juillet 2013
Candidat ? Oui mais ...
La succession est-elle ouverte ? C’est la question que se posent beaucoup de Moussignols aujourd’hui, qu’ils soient partisans du maire ou non. Les uns et les autres ayant reçu telle ou telle confidence d’un proche, du maire lui-même, affichent un air grave, sérieux et profond pour affirmer qu’il sera ou ne sera pas candidat. En fait, personne ne sait vraiment.
La raison de ce qui ressemble fort à de l’indécision est en fait très simple. D’après plusieurs sources proches de la communauté de communes et des élus du canton, la candidature de Bernard RIGAULT à la mairie de Moussy est entièrement conditionnée à sa capacité de prendre ou non la présidence de la nouvelle intercommunalité après les élections municipales.
Mais ces projets ont été contrariés. Non seulement une récente réforme vient de donner le pouvoir d’élection des conseillers communautaires aux citoyens mais, qui plus est, son élection comme président de la nouvelle intercommunalité, loin de faire l’unanimité, risque d’être annulée le 19 juillet par le Tribunal Administratif de Melun.
Nombreux sont ceux parmi les maires du canton, de droite comme de gauche, qui voudraient en finir avec les vieilles divisions qui nous empêchent d’avancer et que Bernard RIGAULT et Daniel LEROY incarnent.
Après on viendra nous dire qu’il n’y a que l’intérêt de la commune qui est en jeu...
05 juillet 2013
Le rapporteur du tribunal administratif conclu à l’invalidation de l’élection de Bernard Rigault et des 11 vices présidents de la communauté de communes
Le rapporteur du TA a conclu à l’invalidation de l’élection. Les conclusions du tribunal seront connues le 19 juillet.
25 juin 2013
La mairie rase gratis !
A moins d’un an des élections municipales, la majorité sortante ne sait plus quoi faire pour s’attacher une clientèle. Depuis le mois de novembre 2012, la mairie a dépensé 148 000 € en fêtes et frais de réception. Autant d’argent en moins pour des actions utiles : aides aux personnes âgées isolées, insertion des jeunes, …
Inauguration de la Halle, réception des nouveaux habitants (ce qui est nouveau), cérémonies diverses et variées ont, cette année, été l’occasion d’une véritable débauche de dépenses sans parler des petits « cadeaux » distribués çà et là à des Moussignols bien choisis.
Jamais la mairie n’aura autant arrosé. Le clientélisme est une mauvaise politique mais c’est une politique qui fonctionne. La majorité sortante se fait ainsi réélire depuis plus de 30 ans.
Les Moussignols, alors que les comptes sont dans le rouge, sont-ils condamnés à voir leurs impôts ainsi jetés par les fenêtres ?
